jeudi 22 janvier 2015

Variation sur un thème connu (où il sera question de champ vibratoire)


Oui je sais, je parle souvent de filles que je croise ou que je rencontre, que je côtoie longuement ou que je frôle quelques secondes. Oui je sais que ça peut devenir redondant. Mais je n’y peux rien. J’adore ça autant que le cinéma, la peinture ou le hockey. C’est pour ça que je te dirais de passer ton chemin si jamais t’es de ceux qui trouvent ça répétitif. Reviens plus tard, je parlerai de hockey.


***


Tu ne la dragues pas, mais qu’est-ce que t’es bien quand elle est là ! Ça t’arrives des fois ? Moi aussi. C’est les chromosomes je crois qui font ça. Ou alors nos champs vibratoires. Ou les chakras.

Et si c’était juste parce que tu la trouves crissement belle avec son champ vibratoire bien moulé derrière son jean’s ? Oui, mais pas que ça. T’es bien quand elle est là et tu ne te pauses pas de question. Ça clique naturellement, sans forcer et c’est toujours agréable parce que justement, tu ne dragues pas. Tu contemples, t’apprécies et tu savoures sa présence seconde par seconde.


Tu ne la dragues pas, non, mais elle t’attire quand même. Elle le sait parce que t’arrêtes pas de lui dire depuis trois millions d’années, mais elle laisse faire parce qu’elle te trouve marrant. (De fait, elle constitue un très bon public devant mes conneries. C’est vrai que lorsque je m’y mets, ouais, je me démerde pas mal de ce côté.) Et c’est un peu ça qui fait la magie parce qu’à chaque fois que tu la vois, t’as pas la pression tout en gardant la passion. Comme relation, ça dure généralement plus longtemps qu’en couple. En tout cas, tu ne t’engueuleras jamais pour un sac poubelle oublié. Et puis cette fille sait que tu seras toujours là pour elle. Même dans un couple, t’auras jamais cette certitude parce que généralement, la fonction principale d’un couple et de savoir se séparer après une période plus ou moins longue de vie commune. « Si tu gardes le frigo, je garde la cuisinière ! » T’as pas de ça dans une relation d’amitié avec valeurs rajoutées. T’as que la douceur bienheureuse des perpétuelles retrouvailles. C’est une situation gagnante-gagnante comme disent les gens des relations humaines dans les grandes entreprises.


Des fois, je me dis que je suis choyé. Si, si ! Ça m’arrive de me le dire.

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