Sept jours en
septembre comme une fin du monde qu’on repousse. Nous respirons l’odeur des
bières renversées et du bonheur tout simple d’être en vie. Ton sourire est un
océan traversé qui se conjugue en décalage. Et le mien, fatigué, se remet de
six années d’attente. On se retrouve dans l’impossible. On se reconnecte dans
l’imparfait.
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