Oui je sais, ce n’est pas joli.
Oui je sais, la violence ne règle rien.
Oui je sais, t’as beau être un flic, tu n’en restes pas moins un être humain sous ta carcasse de lobotomisé défenseur de la richesse des puissants.
N’empêche, arrive un moment où le peuple doit cesser d’être passif.
Ça se passait aujourd’hui en Italie.
Mais le même genre de scène se déroulait aussi en Espagne et en Grèce au Portugal. Et puis dans un registre moins violent, en France, en Allemagne...
Qu’est-ce que je disais hier?
Écoeurement général qui monte, et qui monte, et qui monte...
La rue est en passe de devenir le parlement du peuple de cette première moitié du 21e siècle.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire