Petite montagne en face de mon chalet. Levé du soleil. Matin de janvier. Vous voyez le chalet en avant plan? La rumeur du lac (c’est à dire les potins des résidents de chalets tout autour) dit qu’il appartient à deux anciennes nones défroquées et devenues gouines. Avant ou après la défroque qu’elles sont devenues gouines? L’histoire ne le dit pas. La rumeur n’a que faire des détails. Ce qu’elle colporte par les cloportes, c’est le sensationnalisme. Anyway, dans ces mêmes rumeurs, moi je suis le pouilleux du lac. Le gars de la ville. Le «Montréalââ». Le gars qui ne tond pas son gazon. Ils peuvent dire n’importe quoi, je m’en fous; c’est quand même moi qui ai pêché le plus gros poisson du lac. Lalalalèèèreuuh!
La veille, et à peu près le même angle mais sans le zoom. Mon pays, ce n’est pas un pays, c’est l’hiver ostie!
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