Terrible catastrophe au Japon. Les mots nous manquent quand on voit défiler des images comme celles-là.
Ça nous ramène à la fragilité de la vie. À ces choses que l’on croit immuables, mais qui ne le sont jamais.
Ça nous oblige à reconsidérer notre supposée supériorité sur les éléments, sur la nature. Ça oblige à nous rappeler que nous ne sommes ici que par une série de hasards et que notre survivance en tant qu’espèce ne tient qu’à un simple frétillement de la couche terrestre, qu’à un caillou céleste égaré ou qu’à un léger engourdissement du soleil.
Nous n’avons jamais dominé notre environnement. Nous comptons simplement sur un sursis de celui-ci.
Nous l’oublions trop souvent.
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