Au Mousse-Café la jolie serveuse que j'aimais bien n'y travaille plus. J'y suis passé l'autre après-midi entre deux quarts de travail pour y manger un morceau et me descendre un expresso. À part cette table près du mur où quatre personnes allongeaient leur conversation au-dessus de leurs assiettes vides, j'étais le seul client de la place. Au comptoir, deux nouvelles serveuses parlaient entre elles sans se soucier de ma présence. J'ai pris ma place habituelle et j'ai ouvert mon livre en attendant que l'une d'elles vienne prendre ma commande. Après au moins dix minutes à tourner les pages et à jeter des regards sur le comptoir où elles n'en finissaient pas de se raconter leurs histoires, je me suis levé et j'ai quitté la place.
J'ai trouvé un peu plus loin une petite charcuterie sympathique où ils font des sandwichs et des plats pas trop compliqués. Quelques tables de bistrots s'allongeaient sur le trottoir du côté ombre de la rue Beaubien et c'est là que je me suis installé. Le café y est très bon et le tout donne un petit côté européen pas désagréable du tout. Il faisait chaud et j'étais très heureux d'avoir trouvé cette terrasse ombragée improvisée.
Le même jour, un peu plus tard, un pigeon m'a chié dessus alors que j'étais allongé sur un banc du parc Beaubien pour continuer la lecture de mon roman. Une salle histoire si vous voulez savoir. J'étais couché sur le dos et je lisais tranquille sous les arbres pour avoir un peu de frâicheur quand la fiente filante vint s'écraser contre mon front quadragénaire. J'ai été chanceux. Quelques centimètres plus bas et je recevais l'offrande dans la gueule.
Je me suis souvenu que la dernière fois qu'un oiseau me chia dessus c'était dans les rues de Nantes. Une grosse mouette qui m'avait ciblé sur l'épaule. Je me souviens que je portais mon chouette t-shirt de Tintin. Mouette ou pigeon, un fiente reste une fiente mais à choisir, j'aime encore mieux quand ça se passe dans une ville de France. Ça rend la chose plus romantique.
J'ai trouvé un peu plus loin une petite charcuterie sympathique où ils font des sandwichs et des plats pas trop compliqués. Quelques tables de bistrots s'allongeaient sur le trottoir du côté ombre de la rue Beaubien et c'est là que je me suis installé. Le café y est très bon et le tout donne un petit côté européen pas désagréable du tout. Il faisait chaud et j'étais très heureux d'avoir trouvé cette terrasse ombragée improvisée.
Le même jour, un peu plus tard, un pigeon m'a chié dessus alors que j'étais allongé sur un banc du parc Beaubien pour continuer la lecture de mon roman. Une salle histoire si vous voulez savoir. J'étais couché sur le dos et je lisais tranquille sous les arbres pour avoir un peu de frâicheur quand la fiente filante vint s'écraser contre mon front quadragénaire. J'ai été chanceux. Quelques centimètres plus bas et je recevais l'offrande dans la gueule.
Je me suis souvenu que la dernière fois qu'un oiseau me chia dessus c'était dans les rues de Nantes. Une grosse mouette qui m'avait ciblé sur l'épaule. Je me souviens que je portais mon chouette t-shirt de Tintin. Mouette ou pigeon, un fiente reste une fiente mais à choisir, j'aime encore mieux quand ça se passe dans une ville de France. Ça rend la chose plus romantique.
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